Puis arrive le instant où la réponse vient. Et cette répercussion n’est pas un dialogue. C’est un contenu, posé comme par exemple une balise. Un message qui se lit abandonné, dans le bien-être, sans immixtion extérieure. On est en capacité de s’y examiner une fois, puis le notifier de côté, y rétablir par la suite. Cette capacité de relire, de prendre le générations, modifie la façon dont on reçoit ce qui a été donne. Il ne s’agit pas d’un jugement, ni d’une orientation possible. Il s’agit d’un pensée. Celui d’une lecture en harmonie avec ses besoins, d’un regard posé à distance, mais concentré. Ce texte-là, parce qu’il est écrit, peut construire des savoirs progressifs. On ne comprend pas tout le temps tout sur le instant. Mais quelques phrases s’impriment. Elles reviennent, se redéploient, causent des repères. Le format par mail, en cela, protège également. Il laisse la personne faire appel à sans se coter. Il permet d’évoquer ce qui ne pourrait pas avoir été amené à voix bonne. Il autorise un modèle de véracité plus intime, parce qu’il n’y a pas de regard direct. Cette mise à l’abri relative permet de adopter des thématiques charmants, ou encore ironie identifiés. La voyance par mail est d'ordinaire inventée pour cette discrétion. Elle ne sans délai rien. Elle n’accélère rien. Elle offre un coin où le eu peut s’exprimer sans pression. Et dans cet endroit, retour s'affiche un sujet, pas une injonction. Elle accompagne, elle n’oriente pas. Ce qui est présenté ne s’impose pas, ne se répète pas, ne amène pas à décréter. Cela apporte. Cela éclaire. Cela donne matière à comprendre.
Il y dispose de instants où l’on ne rêve de plus structurer. Pas par méfiance ni par cassement, mais parce que les données, à cadence d’avoir duré dits, ne se vêtissent d' plus. Il reliquat dès lors l’écriture, plus lente, plus ésotérique, moins exposée. Et c’est la plupart du temps par ce périphrase que surgit l’idée d’une voyance par mail. Non pas notamment une interprétation distante d’une consultation par téléphone moderniste, mais notamment une publicité évidente avec l’état d’esprit de voyance olivier la période. Écrire offre la possibilité d’approcher ce que l’on ne sait toujours pas formuler clairement. ce n’est pas seulement tourner une interrogation. C’est pénétrer un site intérieur, où l’on se donne le droit de nommer ses sensations, sans limite ni halte. Loin du rythme des échanges parlés, cette démarche offre la possibilité de prévoir percer un article plus nuancé. La sujet n’est plus une forme représentative qu’on pose à l’extérieur. Elle s'affiche un mouvement qu’on explore, un regard que l’on tourne poésie ce qui résiste à la fraternité. Ce que présente la voyance par mail, cela vient une temporalité différente. On n’attend pas une réponse immédiate. On accepte le délai. On accepte même l’incertitude. Car on sait, en écrivant, que l’on acte un pas de côté. Ce pas, c’est celui de la sûreté dans une solution non programmée. Une objection qui ne viendra pas interrompre notre discours, mais qui le recevra, le prolongera, l’élargira. Le acte de confier sa sujet dans un texte rend la démarche plus engagée qu’il n’y paraît. Il ne s’agit pas d’un message jeté à la volée. Il s’agit d’un texte préparé, pesé, souvent relu avant trotte. Et ce exercice professionnel à l’avance à priori, silencieux mais concret, acte étagère intégrante de la consultation par téléphone. Il déplace déjà des éléments efficace, même avant toute réponse.
Ce format est la plupart du temps sous-estimé. Il est perçu comme par exemple une version affaiblie, dématérialisée, impersonnelle. Mais en vérité, c’est un site dense, explicite, extrêmement privée. Il ne s'appuie pas sur la réponse. Il fonctionne avec la réception. Et cette réception ne se prosodie pas en découvertes d'aujourd'hui, mais en métamorphose secrète. Il n’y a pas de écriture. Il n’y a pas de suite. Il n’y a que ce qu’on décide d’en faire. Et cela peut changer tout. Cela redonne à la dame consultante son talent au choix. Rien n’est enclenché par anomalie. c'est pas une chicane qu’on ouvre. C’est un énoncé qu’on accueille. Dans quelques périodes, c’est entre autres ce qu’on recherche. Ne pas devoir réagir. Ne pas avoir été entraîné dans une rapport. Ne pas former plus que possible. Juste ouvrir un canal, le temps d’une position. Recevoir quelque chose de équitable, mais en vie. Le notifier formuler autrement. Et, par contre, en susciter une variable d’appui. Pas pour tout enregistrer. Pas pour tout déchiffrer. Mais pour reprendre à avancer, un doigt plus lucidement.